Du vert plein les prés
Suite de mes promenades bucolique, intermèdes bienvenue au confinement. On a beau avoir la chance de vivre à la campagne, avec un jardin, avoir un compagnon aimé et aimant. La vie nous manque. Les rires d'enfants au jardin. Le ventre rond de ma fille et ce petit être auquel je ne peux pas parler. Mes garçons. Mes amis, les petits et grands papotages, La chorale et les bisous aux copines. Les balades en bord de mer, dans les parcs, les vides-greniers... et puis, il y a l'incertitude et sa copine l'inquiétude... comment cela va-t-il se passer après? C'est là, blotti au fond de moi, comme une vilaine petite peur empoisonnée, empoisonnante. Alors, marcher un peu chaque jour, regarder autour de moi la vie qui s'éveille et qui s'en fout de ce vilain virus!!