5 juin 2012
Sous bois
Un friselis de lumière ourle les grands pins sombres
Là-bas, j’entends leurs voix
Le chemin épineux Musarde dans les fougères
Là-bas, j’entends leurs rires
Les merles stridulent plus loin dans la clairière
Encore quelques pas
Ils bavardent et scriludent dans des brassées de joie
Ça y est, je les vois
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